Leopard doit à son solide historique et à sa capacité d’innovations, d’être aujourd’hui le leader mondial d’un marché en pleine expansion. Après Cannes et Miami, et à la veille de la présentation en Europe du Leopard 46 PC au salon international du multicoque de La Grande Motte, découvrez les raisons profondes du succès des Powercat.
Comme toute belle histoire, celle de la gamme moteur Leopard s’appuie sur un riche passé. À l’origine, il y a plus de vingt ans, le Leopard était un lion. Ce 46 pieds, baptisé « Lion 464 », déjà dessiné par Alexander Simonis, présageait l’avenir. Pour le chantier sud-africain Robertson and Caine pionnier du powercat, ce dessin spécifique conservait cependant une largeur modérée (5.3m). La génération suivante reprenait le patronyme phare de la marque, mais surtout les plans de forme de leurs homologues véliques. Leur plus grand maître bau – 7.57m pour le Leopard 47 PC – offrait alors un espace inédit pour les habitués des monocoques. Sur la troisième génération, soit les Leopard 51 PC et 43 PC, si les coques et le pont restaient ceux des modèles voile, les œuvres vives spécifiques les faisaient entrer dans un cercle vertueux de performances en hausse pour des consommations en baisse. Mais que dire alors de la dernière génération qui bénéficie elle d’une conception 100% originale ?
Une nouvelle dimension
A bord des Leopard 53 PC et 46 PC, c’est l’espace de vie à bord qui impressionne au premier regard. C’est une véritable révélation pour beaucoup de visiteurs qui découvrent l’univers du multicoque. Un symptôme fréquent est alors observé, une surestimation de 10 à 20 pieds de la longueur. Tous les repères et standards issus de la « mono » culture » sont en effet à revoir quand on dispose d’espaces aussi vastes. Nacelle, flybridge, cockpit avant, arrière, coque propriétaire aux prestations de suite pullman, la première visite est toujours un choc. Un prix inférieur pour deux coques au lieu d’une ne manque pas de surprendre aussi le néophyte. Surtout qu’un volume habitable supérieur dans une longueur inférieure ouvre de nouvelles perspectives. La double motorisation mettant à la portée de tous les manœuvres, même dans une étroite marina, l’idée de se passer d’équipage fait son chemin. Certes, un capitaine professionnel est source de tranquillité d’esprit, mais malgré tout il reste un élément exogène au noyau familial, ou amical, que l’on souhaite naturellement privilégier lors des temps passés à bord.
Donner du sens à ses croisières
Avec leurs vitesses de croisière de 15 à 16 nœuds, pouvant monter à plus de 20 nœuds lorsque la situation l’exige, les performances de ces carènes au design moderne, répondent parfaitement aux attentes des plaisanciers du XXI° siècle. La vitesse extrême, synonyme d’inconfort, de stress et de surconsommation, est objectivement passée de mode. Le présent et le futur se veulent plus écologiques, plus respectueux de l’environnement, sur un catamaran devenu îlot de vie et d’autonomie. Des étraves aux jupes, le redan prononcé affine les coques, pour un parfait passage dans la mer et une consommation maîtrisée. Au-dessus de la flottaison, les bordés s’écartent, pour offrir toujours plus d’espace.
Deux coques, mille possibilités
« Et si Le vrai luxe c’était l’espace ?» se demandait il y a quelques années un grand constructeur automobile. Les powercats Leopard apportent une réponse résolument positive à cette question. Non content d’offrir jusqu’à 30% de surface en plus à longueur égale, ils multiplient les lieux de vie, à l’image de leurs flybridges spacieux et confortables. Découvrir leur nacelle, lieu de vie diurne par excellence, est toujours impressionnant pour un néophyte en la matière. Une fois habitué, si tant est qu’on ne le soit jamais, à la vue panoramique sur l’environnement, à la présence d’une grande cuisine, d’un salon, d’un carré, l’analyse se fait plus fine. Il y a la lumière bien sûr, mais aussi cette ventilation naturelle apportée par la porte avant ouverte. Elle donne accès d’ailleurs à un cockpit de proue, jamais vu sur un monocoque. En profiter au mouillage comme au port est encore une nouvelle, très bonne, habitude à prendre. Dans les coques, propriétaire et invités retrouvent l’intimité et le niveau de confort qu’ils ne connaissaient jusqu’ici qu’à terre. Les cabines sont éloignées les unes des autres, disposent chacune de leur salle d’eau privative avec douche séparée. L’armateur peut profiter d’une coque entièrement dédiée, avec sofa, bureau, une immense salle d’eau, de multiples rangements, une vraie suite cinq étoiles. Et bien sûr, tous bénéficient d’une vue sur mer imprenable.
Expérience augmentée de vie en mer
Que l’on souhaite se reposer, converser, lire, ou encore se restaurer, un catamaran moteur Leopard offre toujours de nombreuses possibilités à ses invités. Dedans, dehors, en haut, en bas, devant, derrière, au soleil, à l’ombre, les choix sont forcément multiples. La seule certitude c’est que ce sera confortable. Les déplacements sont aisés, même pour les moins amarinés, et l’absence de roulis au mouillage favorise la pratique de tous les sports nautiques, dont l’accès n’a jamais été aussi aisé entre larges jupes et plateforme arrière. Avec sa très grande stabilité, c’est la plate-forme de vie autonome idéale pour des vacances de rêve, voire un voyage au long cours pour total changement de paradigme.
